«Après la présidentielle, cent jours pour des réformes de fond»

Le temps perdu au début d’un quinquennat ne se rattrape jamais, plaident les Gracques, groupe de réflexion social-libéral, qui compte de nombreux hauts fonctionnaires.

Le quinquennat qui s’achève, comme ceux qui l’ont précédé, aura rappelé la puissance du «triptyque de la réforme» qui s’impose à tout élu à la présidence de la République.

Règle n° 1: ce qui est difficile et qui ne se fait pas au début de la mandature, quand on peut s’appuyer sur la légitimité du suffrage et la dynamique de campagne, ne se fait plus.

Règle n° 2: pour que la réforme prospère – faute de quoi l’occasion perdue ne se retrouve pas -, elle doit avoir été parfaitement préparée avant, plutôt qu’élaborée ensuite au fil de l’eau.

Règle n° 3: la légitimité et la préparation ne sont rien sans une bonne exécution confiée à des responsables capables de commander, d’accompagner, d’expliquer, d’entraîner et finalement d’atteindre l’objectif qui leur a été fixé.

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