Les Echos : Le plaidoyer des Gracques pour des « midterms » à la française

En ce début de campagne présidentielle, le think tank social libéral publie une nouvelle salve de propositions.Il insiste sur la nécessité de renouveler les institutions pour répondre à la crise démocratique.

Le constat est sans appel : à moins de six mois de son terme, le mandat d’Emmanuel Macron n’a pas permis une rénovation de la vie démocratique. Déjà très présents avant son élection en 2017, les travers des institutions – concentration de la décision à l’Elysée, Parlement mis entre parenthèses via le recours aux ordonnances – ont été exacerbés pendant la crise sanitaire.

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Le Temps : Larmes des Gracques, illusions perdues de la Macronie

Collectif d’intellectuels et de hauts fonctionnaires, à la fois sociaux-démocrates et libéraux, les Gracques publient ces jours-ci leur «Manifeste de la dernière chance» pour réformer la France. Un cri du cœur qui masque mal leur déception envers leur favori de 2017: Emmanuel Macron.

C’est donc maintenant ou jamais. Maintenant, c’est-à-dire l’an prochain, lorsque sonnera l’heure d’un nouveau quinquennat, après le second tour de la présidentielle, le 24 avril 2022. Avec leur Manifeste de la dernière chance publié ces jours, le collectif les Gracques espère secouer le landerneau de la politique française dont le baromètre des sondages quotidiens est désormais calé sur… Eric Zemmour.

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Europe 1 : « Le manifeste de la dernière chance » : le programme électoral des Gracques

Chaque matin, Nicolas Beytout analyse l’actualité politique et nous livre son opinion. Ce jeudi, il s’intéresse aux Gracques, un « think tank », un club de réflexion très influent dans les allées du pouvoir. Ils ont publié un livre au titre plutôt sombre « Le manifeste de la dernière chance ».

A écouter sur Europe 1.

L’Opinion : Les Gracques font leurs propositions, après inventaire du quinquennat Macron

C’est peu dire que les Gracques sont déçus. Le « groupe de réflexion et de pression » de la gauche social-libérale, qui se prévaut, si ce n’est d’avoir fait élire Emmanuel Macron en 2017, du moins d’avoir permis aux idées social-libérales de s’imposer, a entrepris de dresser un bilan « honnête et objectif » du quinquennat, à quelques mois de l’élection présidentielle.

Pour ce groupe de hauts fonctionnaires, universitaires, étudiants, entrepreneurs, avocats etc., emmenés par Bernard Spitz, l’ex-patron de la Fédération française de l’assurance, le quinquennat Macron aura surtout rappelé « la puissance du “triptyque de la réforme” qui s’impose à tout élu » : 1) ce qui ne se fait pas au début de la mandature ne se fait plus ; 2) pour que la réforme prospère, elle doit avoir été parfaitement préparée avant ; 3) la légitimité et la préparation ne sont rien sans une bonne exécution… L’échec de la réforme des retraites est à cet égard emblématique, aux yeux des Gracques, d’un gros défaut sur le deuxième pilier du triptyque : « pas du tout préparée » selon Bernard Spitz, elle a abouti à un « projet de loi mal ficelé » qui a dû être abandonné en rase campagne.

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Le Point : 2022, le programme de la dernière chance

Dans un livre, le cercle de réflexion propose des réformes compatibles avec le « en même temps » macroniste.

On les sent quelque peu déçus par le premier quinquennat d’Emmanuel Macron. Les Gracques – ce cercle de réflexion de sensibilité sociale libérale qui regroupe des hauts fonctionnaires et d’anciens membres de cabinets ministériels, des chefs d’entreprise, des juristes, des enseignants, ainsi que des intellectuels, des médecins, etc. – considèrent que la jambe sociale de l’actuel chef de l’Etat a été négligée.

Article complet à lire dans Le Point.

L’Obs : Les Gracques proposent un programme de gouvernement… taillé sur mesure pour Macron

Depuis 2007, à chaque élection présidentielle, les Gracques, « groupe de réflexion et de pression » de la gauche sociale-libérale, refont surface. En publiant « le Manifeste de la dernière chance » (Albin Michel), les hauts fonctionnaires emmenés par Bernard Spitz, ex-président de la Fédération française de l’Assurance, proposent un programme de gouvernement clé en main pour le prochain quinquennat. « C’est le travail d’une quinzaine de groupes de travail qui a mobilisé une centaine d’experts, a souligné Bernard Spitz, le 4 octobre, lors d’une rencontre à l’Hôtel Montalembert coanimée par l’ex-PDG de Vallourec Philippe Crouzet et l’écrivain Erik Orsenna.

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Le Progrès : Le « Manifeste » social-libéral de hauts fonctionnaires pour réformer la France

Un âge pivot de la retraite « à 64 ans, par souci de réalisme, et pas 67 ans comme le propose Édouard Philippe » ; la suppression de 250 000 postes de fonctionnaires d’État, mais par départs volontaires largement compensés… Ces deux propositions résument assez bien la ligne du « Manifeste de la dernière chance » présenté lundi par les Gracques: libérale mais sociale, se voulant un peu plus à gauche qu’à droite.

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